L'élégance au masculin : réflexion(s) - conseils - partis pris.
Jusqu'aux tribulations de DSK à New York, Benjamin Brafman était pour moi un parfait inconnu. Les chaî nes d'info en continu nous ont rendu familiers sa silhouette trapue et son visage fermé. Déformation d'amateur, j'ai bien sûr remarqué le soin qu'il...
Lire la suiteNouveau site sur le thème de l’élégance masculine : Le paradigme de l’élégance . Bienvenue à lui ! Les textes sont clairs, construits, rédigés dans un style correct et efficace. Le rédacteur – Maxime Pilard – n’hésite pas à donner son avis, ce qui est...
Lire la suite« - Le match Sarkozy-Hollande a commencé. - Le match ? Quel match, le Chouan ? Celui de la présidentielle ? - Trop tôt. Il faudra d'abord que Hollande terrasse Martine à la primaire. - Le match des coups bas ? - Ah ! celui-là n'a jamais connu de temps...
Lire la suiteFERMETURE POUR CAUSE DE CONGES ANNUELS. REOUVERTURE LE 1er SEPTEMBRE. Bonnes vacances !
Lire la suiteCa y est ! Le fauteuil n° 32 est occupé ! Le 16 juin, François Weyergans a fait son entrée sous la Coupole. Enfin ! Elu le 16 mars 2009, il aura donc fallu 27 mois à l’écrivain procrastinateur pour se décider. Parmi les raisons invoquées pour justifier...
Lire la suiteSarko le minet . Début des années 70. Sarko habite le XVIe mais il se croit un paria. Il s’habille alors chez Réty, le magasin de confection haut de gamme tenu par les parents de son ami Patrick Balkany. Cheveux longs, veste étriquée à revers surdimensionnés,...
Lire la suiteJeune loup de la politique, Jacques Chirac faisait tout pour se vieillir. Des films anciens le montrent arpenter en costume trois-pièces la Corrèze dont il fit, dans tous les sens du terme, sa terre d’élection. Il s’exerça à tenir sa cigarette au bec...
Lire la suiteFrançois Mitterrand n’avait pas le sens du vêtement. Ministre de la IVe (et combien de fois !), il portait d’épais et lourds costumes croisés. Aux pieds, de grosses chaussures dont les semelles étaient souvent de crêpe. Il conserva, à quelques minimes...
Lire la suiteValéry Giscard d’Estaing se fit élire sur un mensonge : il se prétendit simple et fit tout pour le faire croire. On le vit jouer au foot et de l’accordéon, le piano du pauvre. Il osa se montrer torse nu ; à cette occasion, les Français (et les Françaises…)...
Lire la suiteGeorges Pompidou avait deux visages. Il y avait le Pompidou des villes et le Pompidou des champs. Le Pompidou des villes avait fait Normale sup’, été reçu premier à l’agrégation de lettres, cultivé un certain dandysme, collectionné très jeune des œuvres...
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